Fermer
header

Investir dans l’immobilier neuf

Valeur refuge pour de nombreux Français, l’immobilier reste un placement de choix. Actif sûr et transmissible, la pierre est une option tangible pour préparer sa retraite, générer des revenus complémentaires et se constituer un patrimoine. De plus, investir dans l’immobilier neuf offre de nombreux avantages. Quel que soit votre profil d’investisseur, le groupe Pichet vous accompagne dans votre projet d’investissement immobilier !

Pourquoi investir dans l’immobilier ?

Investir dans l’immobilier neuf est intéressant pour plusieurs raisons. La première, non négligeable, concerne les économies réalisées à court et moyen termes : frais de notaire réduits, absence de travaux à prévoir pendant plusieurs années, meilleure performance énergétique…. Vous profitez aussi de l’effet de levier du crédit ainsi que d’avantages fiscaux non négligeables grâce à votre investissement immobilier. En outre, un bien immobilier neuf est plus attractif. Vous vous constituez donc un patrimoine dont la valeur va se maintenir voire évoluer avec le temps.

Notre offre

Laissez-nous vous accompagner dans votre projet d'investissement

Nos conseils pour réussir votre projet d’investissement

Se lancer dans un projet d’investissement locatif nécessite d’être bien informé sur les différents risques et avantages, mais également de bien comprendre les enjeux liés à votre stratégie patrimoniale.

Quels sont vos objectifs ? Quel patrimoine souhaitez-vous constituer ? En effet, que vous cherchiez simplement un revenu complémentaire via l’investissement locatif, à préparer votre retraite ou que vous souhaitiez réduire vos impôts, nos experts de l’investissement immobilier vous conseilleront des produits différents, adaptés à vos besoins : résidences gérées avec services (étudiantes ou séniors), appartements neufs en bord de mer ou studio en région parisienne.

Investir avec le groupe Pichet

Un promoteur engagé pour la réussite de votre projet

Investissement locatif : un projet immobilier rentable ?

Le marché immobilier offre toujours des opportunités intéressantes. S’il faut rester vigilant face aux fluctuations du marché, bien préparer son projet permet d’en optimiser le rendement.

Les grandes agglomérations continuent d’afficher une demande locative forte et soutenue et les évolutions démographiques créent des besoins en matière de logements ; un contexte toujours propice aux projets d’investissement immobilier.

Les avantages de l’investissement locatif

Devenir propriétaire pour se lancer dans un projet d’investissement locatif offre différents avantages.

  1. Se constituer un complément de revenus
    Vous percevez des loyers réguliers, vous assurant ainsi des revenus complémentaires en vue d’améliorer votre retraite.
  2. Se constituer un patrimoine
    L’investissement locatif permet d’acheter des biens immobiliers. Selon votre stratégie patrimoniale, ces logements pourront ensuite être transmis à vos héritiers ou revendus. Vous pourrez également utiliser l’effet de levier du crédit pour votre investissement.
  3. Profiter d’avantages fiscaux
    Dans le cadre de certains investissements locatifs, vous pouvez bénéficier d’un régime fiscal vous offrant des réductions d’impôt sur le revenu, sous conditions.

Les risques de l’investissement locatif

Malgré ses nombreux avantages, l’investissement locatif n’est pas sans risques. Il est crucial de les comprendre pour les anticiper au mieux.

  • Risque locatif: le premier et principal risque reste la vacance locative. Entraînant une absence de revenus locatifs, il est important de bien en comprendre la cause (loyer trop élevé, mauvais emplacement, faible attractivité du logement) pour y remédier.
  • Risque lié au locataire : deux cas de figure se présentent, soit le locataire ne paie pas ses loyers, soit il dégrade le logement ce qui occasionne des coûts importants.
  • Risque de dévalorisation du bien: suite à des fluctuations du marché, votre bien peut perdre de sa valeur – dégradation du quartier, évolution négative du marché immobilier, etc.

Il est capital de maîtriser ces risques pour assurer la réussite de votre investissement immobilier.

Comment réussir son investissement immobilier ?

Il faut respecter plusieurs étapes clés pour couronner son investissement locatif de succès :

  1. Définir son projet: il est essentiel d’établir un projet d’investissement précis et clairement défini. Quelle est la superficie du bien immobilier que vous souhaitez acquérir ? Quelle zone géographique ciblez-vous ? Quel est le but de votre investissement locatif (future résidence principale, pur investissement locatif, revente) ?
  2. Étudier le marché: une fois votre projet en tête, analysez le marché local. Comment se répartissent l’offre et la demande dans le secteur ? Quelle est la rentabilité potentielle de votre investissement locatif ? Et quelle est l’évolution de prix prévue ?
  3. Choisir son financement : comment allez-vous financer cet investissement locatif ? Apport personnel, crédit immobilier, un mix de deux ?
  4. Sélectionner le bien : dans le cadre d’un investissement locatif, il faut savoir rester objectif. Ne marchez pas au coup de cœur et prenez le temps de vous baser sur des critères précis : qualité du logement, localisation, rentabilité potentielle, par exemple.
  5. Gérer l’investissement : la gestion du bien en location est essentielle, et pourtant, elle est souvent négligée. Quid des rendez-vous de visite, de la gestion des loyers et des dépenses ou encore de la réalisation de travaux. Pensez-vous être capable et avoir le temps de gérer tout ceci ou préférez-vous déléguer cette gestion ?

Si vous suivez toutes ces étapes, vous mettez toutes les chances de votre côté pour réussir votre investissement locatif et vous construire un patrimoine durable.

Acheter sans apport : est-ce possible ?

Il est de plus en plus difficile d’obtenir un crédit immobilier sans apport personnel, quel que soit votre projet – achat de résidence principale, résidence secondaire et investissement locatif. Il est demandé dans la plupart des cas de disposer d’un minimum de 10 % du prix d’achat en fonds propres.

Certaines banques, ayant une politique de crédit immobilier plus souple, acceptent l’absence d’apport personnel si vous êtes en mesure de la compenser par de solides garanties. En effet, en démontrant une bonne capacité d’épargne combinée à une situation stable, vous offrez un profil rassurant, ce qui est apprécié.

Investir sans apport vous permet également de tirer profit de l’effet de levier du crédit immobilier : vous utilisez l’argent de la banque pour réaliser votre investissement et vous augmentez votre capacité d’achat.

En revanche, un point reste déterminant : préparez votre dossier pour optimiser vos chances d’obtention du crédit.

Investir jeune dans l’immobilier, un réel avantage

Contrairement aux idées reçues, investir jeune dans l’immobilier offre plusieurs avantages. Premièrement, vous profitez d’une capacité d’emprunt plus élevée grâce à une durée de remboursement plus longue. Deuxièmement, vous pouvez ainsi bénéficier de l’effet de levier du crédit, un concept clé de l’investissement immobilier.

Plus vous investissez jeune, plus vous commencez tôt à vous constituer un patrimoine. En investissant dès le début de votre vie active, vous préparez de manière efficace votre avenir en vous générant des revenus complémentaires ou en préparant votre retraite.

Investir jeune, c’est surtout profiter de conditions d’emprunt généralement plus avantageuses. Les établissements bancaires préfèrent les profils plus jeunes, en raison du potentiel de progression de leurs revenus.

Attention cependant à ne pas tomber dans certains pièges afin de garantir la réussite de votre investissement immobilier :

  • Ne pas anticiper les coûts : erreur la plus courante, certains frais majeurs ne sont pas pris en compte. N’oubliez pas d’inclure tout frais associé à l’acquisition du bien immobilier : frais de notaire, éventuels travaux à réaliser, frais d’agence, future taxe foncière ou charges de copropriété. Pensez à établir un budget prévisionnel précis pour éviter toute mauvaise surprise.
  • Choisir un mauvais emplacement : l’emplacement du bien immobilier est un critère déterminant. Accessibilité et proximité de transports en commun sont des arguments de choix au moment de louer votre bien. Une mauvaise localisation peut faire baisser la demande locative et entamer la rentabilité votre investissement. Avant d’acquérir un bien immobilier, Renseignez-vous sur l’environnement du logement ou encore les projets prévus dans le quartier.
  • La précipitation : impatience et investissement immobilier réussi ne font pas bon ménage. Se précipiter dans l’achat d’un bien sans faire une étude approfondie est rarement une bonne idée. Prenez le temps nécessaire pour évaluer la rentabilité de votre investissement.

Négliger l’importance du bail : Le choix du type de bail est primordial. Un bail commercial, par exemple, peut avoir un impact significatif sur la rentabilité de votre investissement. N’hésitez pas à demander conseil à un comptable ou à votre notaire afin de prendre une décision éclairée sur le bail que vous mettrez en place.

Comment évaluer le potentiel de rentabilité d’un bien immobilier ?

Évaluer le potentiel de rentabilité d’un bien immobilier est essentiel pour les investisseurs souhaitant garantir le succès de leur immobilier locatif. Que ce soit pour un appartement en centre-ville, un studio meublé pour étudiants, ou une maison familiale à louer, connaître les indicateurs clés du marché de la pierre permet d’optimiser le retour sur investissement et de sécuriser son capital.

Calculer le rendement locatif : brut et net

Le rendement locatif est le premier indicateur à considérer. On distingue :

  • Rendement locatif brut : loyer annuel / prix d’achat du bien × 100.
  • Rendement locatif net : prend en compte les charges, taxes foncières, frais de gestion et travaux éventuels.

Ces calculs permettent de comparer différents biens immobiliers et de choisir celui offrant le meilleur rapport loyer/prix.

L’importance de l’emplacement et de la demande locative

L’emplacement du bien immobilier influence fortement sa rentabilité. Les quartiers dynamiques, proches des transports, écoles, universités ou centres d’activité et entreprises, offrent généralement une demande locative stable.

L’analyse de la vacance locative, des tendances du marché immobilier local et du profil des locataires potentiels (étudiants, familles, professionnels) est indispensable pour anticiper les variations de loyers et sécuriser votre location.

Intégrer les travaux et le potentiel de valorisation

Un bien nécessitant des travaux immobiliers peut réduire le rendement immédiat mais générer une plus-value à long terme. Établir un calcul prévisionnel permet de savoir si l’investissement génère un excédent après remboursement des mensualités de crédit et paiement des charges.

Comparer avec d’autres biens et prendre en compte la fiscalité

Comparer le bien avec des investissements immobiliers similaires dans la même zone permet d’évaluer le potentiel de rentabilité réelle. La fiscalité (dispositif LMNP, par exemple) influence directement le rendement net et doit être intégrée dans le calcul final.

Une approche structurée pour investir intelligemment

En combinant rendement locatif, analyse de l’emplacement, travaux, et fiscalité, vous obtenez une évaluation complète du potentiel de rendement d’un bien immobilier. Cette méthode structurée sécurise votre capital, optimise le retour sur investissement et prépare votre portefeuille immobilier à une croissance durable.

Diversifier son investissement immobilier

L’investissement immobilier ne se limite pas seulement à l’achat et à la location de biens immobiliers. Pour développer son patrimoine immobilier, il est également possible de recourir à des placements, tels que le crowdfunding, les SCPI ou l’assurance-vie. Si les rendements attendus sont généralement plus élevés dans ce type d’investissements que lors d’un investissement locatif standard, les risques sont également plus importants, avec dans le pire des cas, la perte de votre financement.

  • Le crowdfunding: des investisseurs particuliers participent au financement d’un programme immobilier. Ce financement est généralement sollicité pour des opérations de promotion immobilière ou de réhabilitation (résidentiel, bureaux, commerces, etc.). En contrepartie des fonds apportés, chaque investisseur perçoit une rémunération calculée sur la base d’un objectif de rentabilité, souvent acquittable au dénouement de l’opération. Le crowdfunding est un placement illiquide : les fonds investis restent bloqués jusqu’à l’échéance du projet, sans possibilité de revente ou de retrait anticipé.
  • Les SCPI: une SCPI est une société civile de placement immobilier. Il s’agit d’un fonds immobilier qui détient des actifs immobiliers divers (bureaux, commerces, entrepôt logistique, infrastructures de santé, hôtels…) où investisseurs particuliers comme investisseurs institutionnels placent leur argent dans le but de percevoir un pourcentage des loyers encaissés par cette SCPI. Si l’investissement est diversifié et offre un rendement attractif, les risques de perte de capital et de liquidités sont considérables.
  • L’assurance-vie : il s’agit d’investir une quote-part de son contrat d’assurance-vie dans des fonds immobiliers non cotés. De cette façon, le particulier peut diversifier son épargne tout en augmentant le potentiel de rendement de son placement. Trois types de fonds immobiliers non cotés peuvent être souscrits via un contrat d’assurance vie : les organismes de placement collectif en immobilier (OPCI), les sociétés civiles en unités de compte (SC / UC) ou les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI). De plus, consacrer une quote-part de fonds immobiliers dans une assurance vie permet de bénéficier d’avantages fiscaux.

Investir dans l’immobilier neuf

Pourquoi investir dans l’immobilier neuf plutôt que dans l’ancien ?

L’immobilier neuf offre plus d’avantages : économies d’énergie grâce aux normes environnementales récentes (RE2020, RE2025), frais de notaire réduits (2 à 3 % contre 7 à 8 % dans l’ancien), absence de gros travaux à prévoir, garanties constructeurs (décennale, biennale, parfait achèvement), prix direct promoteur et dispositifs fiscaux attractifs.

Quels sont les dispositifs fiscaux disponibles ?

Depuis l’abrogation de la loi Pinel le 31 décembre 2024 et celle du dispositif Censi-Bouvard en 2022, le LMNP (Loueur Meublé Non Professionnel) est le principal dispositif fiscal à l’heure actuelle. Il permet de profiter d’avantages fiscaux comprenant amortissements, récupération de TVA et abattements forfaitaires.

D’autres dispositifs tels que le déficit foncier est cumulable avec le LMNP, par exemple. Il existe aussi le démembrement.

Quels sont les frais à prévoir lors d’un investissement dans le neuf ?

  • Frais de notaire réduits (environ 2 à 3 %)
  • Frais de dossier bancaire
  • Garanties (dommages-ouvrage, assurance emprunteur)
  • Taxe foncière

Quels types de biens privilégier pour investir dans le neuf ?

Les biens immobiliers à privilégier dans l’investissement neuf sont les appartements T2 et T3, généralement les plus recherchés en location.

Toutefois, le choix dépend de la zone géographique, de la demande locative et de votre stratégie (rentabilité à court terme ou valorisation patrimoniale à long terme). Investir dans un studio au cœur d’une ville universitaire est également une stratégie pertinente.

Quels sont les risques liés à l’investissement dans le neuf ?

Les principaux risques liés à l’investissement dans le neuf sont :

  • Délai de livraison (achat sur plan – VEFA).
  • Vacance locative si le bien est mal situé.

Surcoût par rapport à l’ancien dans certaines zones.
Il est donc essentiel d’analyser l’emplacement, le marché locatif local et le promoteur.

Peut-on revendre rapidement un bien immobilier neuf ?

Il est possible de revendre, mais il est conseillé d’attendre au moins 6 à 9 ans afin de rentabiliser l’investissement et d’éviter une perte liée aux frais initiaux.

Comment financer un investissement dans le neuf ?

Pour financer un investissement dans le neuf, la plupart des investisseurs utilisent un crédit immobilier, ce qui permet :

  • de profiter de l’effet de levier bancaire,
  • de déduire les intérêts d’emprunt dans certains régimes fiscaux.